Rendez-vous de carrière

Éligibilité et Processus pour le Rendez-vous de Carrière 2024/2025

Découvrez si vous êtes éligible pour le rendez-vous de carrière et apprenez comment vous préparer efficacement pour cette étape cruciale de votre parcours professionnel.

Critères d'Éligibilité

Êtes-vous Éligible pour le Rendez-vous de Carrière?

Pour être éligible au rendez-vous de carrière, vous devez remplir certains critères spécifiques. Vous êtes concerné si vous êtes :

  • À la 2e année du 6e échelon
  • Entre le 18e et le 30e mois du 8e échelon
  • À la 2e année du 9e échelon

Si vous remplissez ces conditions, vous devriez avoir reçu un email vous informant de votre éligibilité pour l’année scolaire 2024/2025. Restez attentif à votre boîte mail pour des informations supplémentaires sur les réunions d’information et la date du rendez-vous.

Étapes à Suivre

Suivez ces étapes pour vous préparer au rendez-vous de carrière :

1

Vérifiez Votre Éligibilité

Consultez votre boîte mail professionnelle pour vérifier si vous avez reçu une notification d’éligibilité.

2

Préparez Vos Documents

Rassemblez tous les documents nécessaires, y compris votre projet professionnel et vos justificatifs de formation.

3

Assistez aux Réunions d'Information

Participez aux réunions d’information organisées par votre circonscription pour obtenir des détails importants sur le processus.

Questions Fréquemment Posées

Vous trouverez ici les réponses aux questions courantes concernant le processus et les exigences pour le rendez-vous de carrière.

Quelles sont les conditions pour être éligible au rendez-vous de carrière?
Vous devez être à la 2e année du 6e échelon, entre le 18e et le 30e mois du 8e échelon, ou à la 2e année du 9e échelon pour être éligible.
Comment serai-je informé de mon éligibilité?
Vous recevrez un email professionnel vous annonçant que vous faites partie du contingent de cette année scolaire 2024 / 2025.
Quelles sont les prochaines étapes après avoir reçu l'email d'éligibilité?
Vous recevrez d’autres messages pour vous informer des réunions d’informations et de la date prévue pour le jour J.
Où puis-je trouver plus d'informations?
Vous trouverez de plus amples renseignements sur le site de votre syndicat: sgep-snec-cftc.fr.
Qu'est-ce que la passerelle entre le 1er et le 2nd degré?
C’est un dispositif permettant de passer du primaire au secondaire, sous réserve de remplir certains critères.
Quels sont les critères pour bénéficier de la passerelle?
Vous devez avoir accompli au moins trois années de service et faire valider votre projet incluant la motivation, le parcours et la formation universitaire.

Téléphone

06 90 49 82 65

Adresse

Sgep-Snec-CFTC
BP 215 rougeole
97170 Petit-Bourg

Visite 1er degré

Visite 1er degré

Bilan de nos visites en établissement en 2023-2024

Nous avons consacré cette année à être présents aux côtés des enseignants, sillonnant la Guadeloupe pour rencontrer nos collègues des établissements privés du 1er degré.  Au cours de ces rencontres, nous avons abordé des sujets d’intérêt majeur pour nos enseignants. Toutefois trois sujets les questionnent véritablement sur la région tels que le dispositif passerelle, le calcul de la retraite et les critères d’avancement de carrière.

Le dispositif passerelle : une opportunité de transition professionnelle.

 Le dispositif passerelle est une mesure qui permet aux enseignants du 1er degré de se reconvertir vers le 2nd degré. Nous avons consacré du temps pour expliquer les conditions et les démarches nécessaires pour bénéficier de cette passerelle. Cette opportunité offre aux enseignants du 1er degré une possibilité d’évolution professionnelle en élargissant leurs horizons vers de nouveaux niveaux d’enseignement. Nous encourageons vivement nos adhérents à explorer cette option pour leur carrière.

Les désavantages du calcul de la retraite pour les enseignants du privé

Il est important de souligner que le calcul de la retraite diffère pour les enseignants du privé par rapport à ceux du public. Alors que les enseignants du public perçoivent une retraite calculée sur les 6 derniers mois de leur carrière, les enseignants du privé voient leur retraite calculée sur les 25 meilleures années. Cette différence peut entraîner une disparité dans les montants de retraite perçus entre les deux secteurs. Nous avons pris le temps d’informer nos adhérents sur cette particularité et de les soutenir dans la compréhension des implications financières de ce calcul. Nous avons souligné auprès d’eux que ce sujet était abordé par le Snec-CFTC de manière permanente auprès des instances ministérielles.

Les critères d’avancement de carrière dans l’enseignement

L’avancement de carrière est un sujet d’importance pour nos enseignants. Nous avons souligné l’importance de passer le concours de professeur des écoles aux suppléants. Nous avons également encouragé nos adhérents à se rapprocher de notre syndicat pour obtenir des informations spécifiques à leur situation.

En conclusion, cette année a été marquée par notre présence et notre engagement auprès des enseignants. Nous continuerons à soutenir nos membres dans leurs préoccupations professionnelles.

Marie-Noëlle DOGNON Elue en CCMD

Le rendez-vous de carrière

Le rendez-vous de carrière

Avec le dispositif PPCR, les notations pédagogique et administrative ont disparu et, sauf pour le passage aux 7e et 9e échelons, l’avancement d’échelon est désormais déconnecté de l’évaluation.

L’évaluation, réalisée conjointement par le chef d’établissement et le corps d’inspection à l’occasion d’un rendez-vous de carrière est donc devenue formative : elle vise à conseiller et accompagner les enseignants et les équipes pédagogiques.

Le rendez-vous de carrière est soumis à un protocole qui précis le calendrier, la forme du compte rendu et les modalités de recours en cas de contestation.

NB : Les MA1 et MA2 se réfèreront aux articles L’évaluation pédagogique et La notation administrative.

Plus de détails sur le site du Snec national

Maîtres délégués : Peut et doit mieux faire

Maîtres délégués : Peut et doit mieux faire

La CFTC Enseignement privé a été reçue au cabinet du Ministère le 6 février avec les deux autres OS représentatives des maîtres de l’enseignement privé sous contrat. Le Directeur des Affaires financières et le Sous-directeur de l’Enseignement privé étaient également présents.

La CFTC Enseignement privé a été reçue au cabinet du Ministère le 6 février avec les deux autres OS représentatives des maîtres de l’enseignement privé sous contrat. Le Directeur des Affaires financières et le Sous-directeur de l’Enseignement privé étaient également présents.

Ce qui s’est dit

Le Ministère est toujours inquiet de la difficulté (croissante !) à recruter des maîtres délégués et semble s’en étonner. La CFTC Enseignement privé a fait remarquer que les conditions de rémunération n’étaient guère motivantes et qu’elles étaient, de surcroît, symboliquement stigmatisantes. La CFTC Enseignement privé a rappelé au Ministère qu’un MA2 en début de carrière gagne moins qu’un smicard non qualifié de statut précaire, les MA ne bénéficiant pas de l’indemnité de précarité de 10 %. Pour la CFTC Enseignement privé, il faut aligner les salaires sur les contractuels du public. Pour le Ministère, il faut raisonner à budget constant.

La CFTC Enseignement privé a aussi rappelé que le nombre de contrats offerts aux concours a baissé de plus de 20 % cette année et a demandé au Ministère s’il s’était fixé un objectif en matière de baisse du taux de précarité. La réponse a été négative.

Le Ministère dit vouloir accroître le ratio nombre de contrats offerts aux concours interne / nombre de contrats offerts aux concours externe. Quand la délégation CFTC Enseignement privé lui a demandé si le nombre total de contrats offerts aux concours augmenterait, il a répondu qu’il aviserait selon les besoins.

Le Ministère ne semble pas convaincu par le fait qu’un nombre insuffisant de contrats offerts aux concours puisse expliquer l’explosion du taux de précarité (nombre de maîtres délégués / nombre total de maîtres) dans l’enseignement privé sous contrat.
La CFTC Enseignement privé a rappelé sa demande, formalisée deux fois ces derniers mois, de connaître les besoins permanents par académie et, pour le second degré, par discipline. Le Ministère étudiera la suite à donner à cette demande…

Face à de telles divergences d’interprétation, la délégation CFTC Enseignement privé a demandé que le département des études statistiques du Ministère, la Depp, réalise une étude sur les sources de précarité dans l’enseignement privé sous contrat et qu’une partie du prochain bilan social du Ministère soit consacrée à la précarité dans l’enseignement privé sous contrat. Le Ministère a répondu avoir pris note de notre demande.

Que retenir de cette rencontre ?

A l’issue de cette 1h30 d’échanges, la CFTC Enseignement privé constate que le ministère ne fixe aucun objectif ni en termes de hausse de rémunération ni en termes de baisse du taux de précarité et qu’il ne propose aucune mesure concrète sur ces plans. Pire, il ne semble pas prendre conscience de la gravité de la situation.

La CFTC Enseignement privé a rappelé les principales revendications qu’elle porte régulièrement auprès du Ministère pour les maîtres délégués , notamment :

  • Rémunération : hausse significative, à hauteur des contractuels du public.
  • Déprécarisation :
    • hausse du nombre de contrats offerts aux concours à un niveau correspondant aux besoins permanents (services restés vacants à l’issue du mouvement),
    • plan complémentaire de déprécarisation hors voie de concours ou de recrutements réservés,
    • ouverture d’une négociation sur un dispositif de déprécarisation alternatif si le dispositif actuel (recrutements réservés) n’était pas reconduit.

Article à lire également sur le site du snec national